vendredi 26 novembre 2010

Vive la technique...

Depuis mardi, j’ai des problèmes de connexion Internet. Etait-ce lié aux travaux dans le coin qui ont nécessité des coupures de courant ? Ou des problèmes au niveau du serveur ? Je ne sais mais le résultat est le même : pendant de longs moments, Internet ou Outlook ne répondaient pas. J’aurais pu m’énerver, je suis assez accro, et ma patience est très limitée dans ce domaine, mais cela ne m’a pas trop perturbée, j’avais des choses à faire… Pendant que ma filleule menait la vie de château à Mozet (= message codé...), j’ai la mission de renouveler sa garde-robes d’hiver. Sauf que je ne lui ai plus vu porter de robe depuis qu’elle a 5 ans, ce qui fait un bail… En fait pas des choses mais deux choses : tricoter en buvant du thé qui s'accomode très bien avec les théières de plus grande contenance. Cela m’a permis également de revisiter mes grandes théières et de reboire des thés que je ne buvais plus trop. Et en particulier, ce thé-ci, le mélange Feu de l’Artisan de saveurs, particulièrement adapté à la saison hivernale. Mais outre que tricoter me permet de me relaxer, j’ai constaté que le thé bu en plus grande quantité me coupe l’appétit. Ou est-ce l’excuse que je me donne pour ne pas m’arrêter ? Et comme le modèle choisi est d’une facilité déconcertante (limite indigne de mes talents…) je peux laisser vagabonder mon esprit, ce qui m’a aussi fait beaucoup de bien : à la fois l’évocation émue de souvenirs, comme ceux liés à ce fameux château de Mozet où j’aurais bien accompagné Véro, si j’avais pu laisser mon mari tout seul. Il va mieux mais je préférais attendre encore une semaine, d’autant que je serai à l’Institut du Thé du 3 au 5 décembre. En buvant, je pensais à ma famille du thé : des tas de visages me passaient devant les yeux et idée plus saugrenue, je me demandais si on pouvait comparer le nombre de points tricoté dans tout ce que je fabriquais au nombre de tasses de thé bues chaque jour dans le monde… Bref, d’une pensée à l’autre, mon cerveau fonctionnait à l’unisson de mes mains et le résultat est là : le pull est terminé, mais en pièces détachées. Que vais-je bien pouvoir faire à partir de demain ? D’abord répondre à mes courriels qui se sont accumulés pendant ces jours de perturbations, après j’ai bien une petite idée, et toi Puce? …

2 commentaires:

La Puce a dit…

génial Marraine, j'adore! Quant a Mozet, on peut toujours y aller au printemps... Ceci dit je crois avoir abusé de nèfles et de mouron blanc,suis un peu intoxiquée... tu verras demain ;-)

Francine a dit…

Mozet au printemps, mais que voilà une bonne idée, ma Puce! Je suis impatiente de te voir demain... pleine de boutons? de taches ou de gratouille? En tout cas, cela ne pourrait m'arriver, j'ai horreur des nèfles et je ne me souviens pas avoir déjà goûté au mouron mais je m'en fais pour toi... du mouron!Qu'est-ce que tu as encore fabriqué?